Préciser les indications actuelles des corticoïdes en injection intravitréenne, leurs modes d’action et d’utilisation, leurs avantages et leurs limites ainsi que les résultats des études les plus récentes et envisager les perspectives d’avenir, ces différents aspects ont été abordés à l’occasion d’un symposium organisé par Allergan, pendant la SFO, présidé par le Pr Gabriel Coscas et le Pr Catherine Creuzot-Garcher. La présentation de cas cliniques concrets a permis…

Cet article ne se veut qu’un sondage d’opinion, à un instant t, d’ophtalmologistes reconnus en contactologie sur un sujet qui nous interroge tous et pour lequel, il faut bien le reconna tre, les informations transmises par les laboratoires sont parfois divergentes.  C’est pourquoi il nous est apparu intéressant de recueillir l’avis d’un certain nombre d’adaptateurs sur leurs pratiques, face à l’arrivée sur le marché depuis quelques années d’un grand nombre de…

Le « glistening » est un effet indésirable qui affecte prioritairement et fréquemment les implants acryliques hydrophobes en modifiant la transparence de leur optique. À l’occasion d’un atelier aux derniers AOP/ACR, le Pr Dominique Monnet (hôpital Cochin) a fait un point sur ce phénomène. Il a ensuite présenté sa première expérience avec enVista™, le premier implant acrylique hydrophobe « glistening-free » lancé par Bausch+Lomb. Compte rendu…

Pendant le congrès de la SFO, la visite des stands offre une multitude d’informations. En voici un aperçu, sous la forme d’une sélection d’instruments, de machines, de dispositifs médicaux ou de nouveaux produits parmi les plus récents. Que chacun puisse y trouver des éléments intéressants à approfondir pour sa pratique !

Le congrès de la SFO est traditionnellement l’occasion pour l’industrie pharmaceutique, les laboratoires de contactologie ou les fabricants de matériel d’organiser des symposiums sur des sujets d’actualité. Considérant leur intérêt, si on en juge par le très grand nombre de participants et la qualité des intervenants, nous avons estimé utile de rendre compte à nos lecteurs de l’essentiel des communications.

Des nombreuses publications sont apparues suite au premier cas d’ectasie mis en évidence par Theo Seiler en 1998 [33]. Treize ans après, quelques conclusions ont pu être tirées, mais aucune avancée fondamentale n’a pu être faite. En effet, il n’y a pas de « golden standard », les différentes séries sont souvent disparates, rétrospectives, le suivi très variable, les mesures du lit postérieur souvent théoriques et non pas réelles, etc.

L’ectasie cornéenne reste une complication rare mais potentiellement redoutable après lasik. Dans un passé récent, les options thérapeutiques étaient limitées : lentilles de contact, anneaux intracornéens et greffes de cornée. De nouveaux traitements permettent d’élargir notre prise en charge. Ceux-ci doivent répondre à trois impératifs : « stabiliser » la cornée, « régulariser » l’irrégularité cornéenne et « corriger » l’erreur réfractive résiduelle.

L’ectasie secondaire à une chirurgie réfractive cornéenne est une complication redoutée des chirurgiens. Un certain nombre de mesures préventives sont à connaître pour, d’une part, éviter d’opérer des cornées à risque et, d’autre part, éviter de déstabiliser une cornée jugée normale. Le développement précoce de l’ectasie secondaire est lui aussi important à reconnaître dans le suivi postopératoire car des mesures thérapeutiques sont à présent disponibles…