Figure 3. A. Exemple d’exercice d’entraînement « basique » en vitrectomie pour appréhender le volume de la cavité vitréenne. B. Simulation de pelage de membrane épirétinienne.
Lire l'article associé Intérêt de la simulation dans la formation des internes à la chirurgie
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 1a. Hémorragie intravitréenne et rétro-hyaloïdienne maculaire en nid de pigeon faisant suite à une activité physique intense (phénomène de Valsalva) chez une patiente de 20 ans.
Lire l'article associé Hémorragie du vitré traumatique : traumatisme, phénomène de Valsalva, syndrome de Terson, et pronostic vital chez l’enfant
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Lire l'article associé Hémorragie du vitré par déchirures rétiniennes ou occlusions veineuses dans un contexte non diabétique et non traumatique
Figure 1. Photographies en lampe à fente en coupe des segments antérieurs droit et gauche montrant l’amincissement et le bombement cornéens inférieurs.
Dégénérescence marginale pellucide : intérêt des verres scléraux
Figure 3. Photographies du segment antérieur avec lentille sclérale. À gauche, en lumière blanche : la lentille est bien centrée, il n’y a pas de compression sclérale. Au centre, en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine : il n’y a pas de contact cornéen. À droite, en vue de coupe avec fluorescéine : bon réservoir de larmes.
Image peropératoire d’une rétine d’un patient myope fort.
Figure 3. Image peropératoire d’une rétine d’un patient myope fort. Les contrastes sont optimisés par l’utilisation d’un filtre avec des niveaux de gris permettant la visualisation de la membrane limitante interne en cours de pelage.
Un effet indésirable inattendu du confinement lié à la pandémie Covid-19
Figure 1. Photographie initiale de segment antérieur retrouvant un tableau de kératite bactérienne sévère centrale avec abcès de plus de 2 mm et réaction majeure de chambre antérieure.
Lire l'article associé Un effet indésirable inattendu du confinement lié à la pandémie Covid-19
Régression de la néovascularisation prérétinienne.
Figure 5. Cliché d’angiographie à la fluorescéine aux temps intermédiaires réalisé en postopératoire de la vitrectomie. Régression de la néovascularisation prérétinienne.
Lire l'article associé Occlusion de branche veineuse compliquée d’une hémorragie du vitré retardée : prise en charge au long cours
Bouquets néovasculaires prérétiniens en regard de l’arcade temporale supérieure.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine aux temps intermédiaires. Visualisation de 2 bouquets néovasculaires prérétiniens en regard de l’arcade temporale supérieure.
Lire l'article associé Occlusion de branche veineuse compliquée d’une hémorragie du vitré retardée : prise en charge au long cours
Figure 2. A. UBM préopératoire d’un GCFA. La flèche cristallinienne est importante (1 400 microns), la chambre antérieure est étroite. B. UBM postopératoire d’une chirurgie de la cataracte du même patient. Augmentation de l’ouverture de l’angle et de la profondeur de CA.
Lire l'article associé Prise en charge des glaucomes chroniques par fermeture primitive de l’angle
Figure 1. Alternance de zones pigmentées et de zones atrophiques (en haut à gauche). Libération de pigments après la dilatation pupillaire (en haut à droite). Tyndall pigmenté à fort grossissement (en bas à gauche). Plages transilluminables (en bas à droite).
Figure 2. Concavité de l’iris (en haut). Bande pigmentée en gonioscopie (en bas à gauche). Pigments sur les fibres zonulaires et sur la membrane hyaloïde antérieure (en bas à droite).
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Figure 3. A. Exemple d’exercice d’entraînement « basique » en vitrectomie pour appréhender le volume de la cavité vitréenne. B. Simulation de pelage de membrane épirétinienne.
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 1a. Hémorragie intravitréenne et rétro-hyaloïdienne maculaire en nid de pigeon faisant suite à une activité physique intense (phénomène de Valsalva) chez une patiente de 20 ans.
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Figure 3. Photographies du segment antérieur avec lentille sclérale. À gauche, en lumière blanche : la lentille est bien centrée, il n’y a pas de compression sclérale. Au centre, en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine : il n’y a pas de contact cornéen. À droite, en vue de coupe avec fluorescéine : bon réservoir de larmes.
Figure 1. Photographies en lampe à fente en coupe des segments antérieurs droit et gauche montrant l’amincissement et le bombement cornéens inférieurs.
Bouquets néovasculaires prérétiniens en regard de l’arcade temporale supérieure.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine aux temps intermédiaires. Visualisation de 2 bouquets néovasculaires prérétiniens en regard de l’arcade temporale supérieure.
Régression de la néovascularisation prérétinienne.
Figure 5. Cliché d’angiographie à la fluorescéine aux temps intermédiaires réalisé en postopératoire de la vitrectomie. Régression de la néovascularisation prérétinienne.
Figure 2. Concavité de l’iris (en haut). Bande pigmentée en gonioscopie (en bas à gauche). Pigments sur les fibres zonulaires et sur la membrane hyaloïde antérieure (en bas à droite).
Figure 1. Alternance de zones pigmentées et de zones atrophiques (en haut à gauche). Libération de pigments après la dilatation pupillaire (en haut à droite). Tyndall pigmenté à fort grossissement (en bas à gauche). Plages transilluminables (en bas à droite).
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.