A-Rio Aquitaine-Rencontres Interactives en Ophtalmologie
Aquitaine - Rencontres Interactives en Ophtalmologie se déroulera à la Cité Mondiale de Bordeaux
Pour cette nouvelle édition, le quatuor organisateur habituel propose le fil rouge des « Algorithmes décisionnels : du bon sens clinique à l’usage de l’IA ». 4 sessions thématiques enchaînant cas pratiques, vidéos et symposiums de l’industrie.
A.Fond d’œil droit : taches blanches visibles au pôle postérieur (flèches blanches) avec l’aspect granité de la macula (flèche jaune). B. OCT-Spectral domain : amincissement de la bande ellipsoïde.
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Prise en charge et surveillance des patients atteints d’OBVR
Patient 4. a. Angiofluorographie : tortuosité de la veine temporale supérieure avec croisement artérioveineux proximal marqué. Œdème « de stase » hyperfluorescent dans le même territoire et atteignant la macula.
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Néovascularisation choroïdienne visualisée sur des clichés d’OCT-A explorant des champs différents
Figure 1. Néovascularisation choroïdienne visualisée sur des clichés d’OCT-A explorant des champs différents : 3 x 3 mm, 6 x 6 mm, 9 x 9 mm et 12 x 12 mm. La visualisation du néovaisseau est de moins en moins aisée avec l’augmentation de la taille du champ d’exploration.
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Figure 3. Aspect en OCT montrant une atténuation des couches rétiniennes externes allant jusqu’à la couche nucléaire externe par endroits, un allongement des articles externes des photorécepteurs et un aspect pouvant correspondre à un décollement séreux rétinien ou à la cavitation rétinienne classiquement décrite dans la Torpedo maculopathy. La couche de l’épithélium pigmentaire adjacente apparaît irrégulière et amincie, et il existe une augmentation de la réflectivité choroïdienne en regard.
Figure 2. Angiographie à la fluorescéine. A. Au temps précoce. B. Au temps intermédiaire. C. Au temps tardif, montrant une prise de contraste sans réelle diffusion, dénotant d’un probable effet fenêtre. À noter que la zone nasale supérieure, qui semble diffuser, ne correspond à aucune lésion sur le cliché OCT correspondant.
Figure 1. Aspect de la lésion. A. Cliché couleur montrant une lésion maculaire ovoïde en forme de torpille, de grand axe horizontal, pigmentée de façon diffuse. B. Cliché en autofluorescence montrant le caractère hypoautofluorescent de la lésion, entourée par un fin liseré hyperautofluorescent.
Figure 2. Innervation cornéenne et vieillissement (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens). A. Innervation dense vue en microscopie confocale chez une souris transgénique adulte.
B. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale chez une souris agée ; on observe une raréfaction très importante de l’innervation.
Innervation cornéenne vue en microscopie confocale
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens).
A. Vue de face. B. Vue en coupe.
Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV
Figure 4. Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV. Greffe de cornée lamellaire postérieure p our une dystrophie endothéliale de type DSEK (A) ; l’innervation cornéenne est toujours présente en postopératoire, la densité du plexus sous-basal apparaît cependant diminuée, les axones semblent plus grêles en microscopie confocale in vivo (B). Greffe de cornée transfixiante (C), le plexus sous-basal n’est plus visible en microscopie confocale in vivo (D).
Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK
Figure 3. Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK, kératite ponctuée sévère bien visualisée après l’instillation de fluorescéine (A) ; les rebords du capot sont bien visibles à l’examen biomicroscopique (B), mais également en microscopie confocale in vivo, objectivant la section nerveuse et la diminution de la densité du plexus sous-basal (C).
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Figure 2. Angiographie à la fluorescéine. A. Au temps précoce. B. Au temps intermédiaire. C. Au temps tardif, montrant une prise de contraste sans réelle diffusion, dénotant d’un probable effet fenêtre. À noter que la zone nasale supérieure, qui semble diffuser, ne correspond à aucune lésion sur le cliché OCT correspondant.
Figure 1. Aspect de la lésion. A. Cliché couleur montrant une lésion maculaire ovoïde en forme de torpille, de grand axe horizontal, pigmentée de façon diffuse. B. Cliché en autofluorescence montrant le caractère hypoautofluorescent de la lésion, entourée par un fin liseré hyperautofluorescent.
Figure 3. Aspect en OCT montrant une atténuation des couches rétiniennes externes allant jusqu’à la couche nucléaire externe par endroits, un allongement des articles externes des photorécepteurs et un aspect pouvant correspondre à un décollement séreux rétinien ou à la cavitation rétinienne classiquement décrite dans la Torpedo maculopathy. La couche de l’épithélium pigmentaire adjacente apparaît irrégulière et amincie, et il existe une augmentation de la réflectivité choroïdienne en regard.
Figure 1. Aspect de la lésion. A. Cliché couleur montrant une lésion maculaire ovoïde en forme de torpille, de grand axe horizontal, pigmentée de façon diffuse. B. Cliché en autofluorescence montrant le caractère hypoautofluorescent de la lésion, entourée par un fin liseré hyperautofluorescent.
Figure 3. Aspect en OCT montrant une atténuation des couches rétiniennes externes allant jusqu’à la couche nucléaire externe par endroits, un allongement des articles externes des photorécepteurs et un aspect pouvant correspondre à un décollement séreux rétinien ou à la cavitation rétinienne classiquement décrite dans la Torpedo maculopathy. La couche de l’épithélium pigmentaire adjacente apparaît irrégulière et amincie, et il existe une augmentation de la réflectivité choroïdienne en regard.
Figure 2. Angiographie à la fluorescéine. A. Au temps précoce. B. Au temps intermédiaire. C. Au temps tardif, montrant une prise de contraste sans réelle diffusion, dénotant d’un probable effet fenêtre. À noter que la zone nasale supérieure, qui semble diffuser, ne correspond à aucune lésion sur le cliché OCT correspondant.
Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK
Figure 3. Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK, kératite ponctuée sévère bien visualisée après l’instillation de fluorescéine (A) ; les rebords du capot sont bien visibles à l’examen biomicroscopique (B), mais également en microscopie confocale in vivo, objectivant la section nerveuse et la diminution de la densité du plexus sous-basal (C).
Innervation cornéenne vue en microscopie confocale
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens).
A. Vue de face. B. Vue en coupe.
Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV
Figure 4. Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV. Greffe de cornée lamellaire postérieure p our une dystrophie endothéliale de type DSEK (A) ; l’innervation cornéenne est toujours présente en postopératoire, la densité du plexus sous-basal apparaît cependant diminuée, les axones semblent plus grêles en microscopie confocale in vivo (B). Greffe de cornée transfixiante (C), le plexus sous-basal n’est plus visible en microscopie confocale in vivo (D).
Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK
Figure 3. Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK, kératite ponctuée sévère bien visualisée après l’instillation de fluorescéine (A) ; les rebords du capot sont bien visibles à l’examen biomicroscopique (B), mais également en microscopie confocale in vivo, objectivant la section nerveuse et la diminution de la densité du plexus sous-basal (C).
Figure 2. Innervation cornéenne et vieillissement (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens). A. Innervation dense vue en microscopie confocale chez une souris transgénique adulte.
B. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale chez une souris agée ; on observe une raréfaction très importante de l’innervation.
Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV
Figure 4. Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV. Greffe de cornée lamellaire postérieure p our une dystrophie endothéliale de type DSEK (A) ; l’innervation cornéenne est toujours présente en postopératoire, la densité du plexus sous-basal apparaît cependant diminuée, les axones semblent plus grêles en microscopie confocale in vivo (B). Greffe de cornée transfixiante (C), le plexus sous-basal n’est plus visible en microscopie confocale in vivo (D).
Figure 2. Innervation cornéenne et vieillissement (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens). A. Innervation dense vue en microscopie confocale chez une souris transgénique adulte.
B. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale chez une souris agée ; on observe une raréfaction très importante de l’innervation.
Innervation cornéenne vue en microscopie confocale
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens).
A. Vue de face. B. Vue en coupe.
Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK
Figure 3. Sécheresse oculaire sévère après une chirurgie réfractive par procédure LASIK, kératite ponctuée sévère bien visualisée après l’instillation de fluorescéine (A) ; les rebords du capot sont bien visibles à l’examen biomicroscopique (B), mais également en microscopie confocale in vivo, objectivant la section nerveuse et la diminution de la densité du plexus sous-basal (C).
Figure 2. Innervation cornéenne et vieillissement (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens). A. Innervation dense vue en microscopie confocale chez une souris transgénique adulte.
B. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale chez une souris agée ; on observe une raréfaction très importante de l’innervation.
Innervation cornéenne vue en microscopie confocale
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale (souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens).
A. Vue de face. B. Vue en coupe.
Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV
Figure 4. Aspect de l’innervation cornéenne après une greffe de cornée en MCIV. Greffe de cornée lamellaire postérieure p our une dystrophie endothéliale de type DSEK (A) ; l’innervation cornéenne est toujours présente en postopératoire, la densité du plexus sous-basal apparaît cependant diminuée, les axones semblent plus grêles en microscopie confocale in vivo (B). Greffe de cornée transfixiante (C), le plexus sous-basal n’est plus visible en microscopie confocale in vivo (D).
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