Echographie

La capsulotomie au laser YAG est responsable d'un déplacement postérieur de l'implant dont les effets sur la réfraction ne sont pas souvent significatifs. Cependant, dans 5 à 10 % des cas, la modification de l'équivalent sphérique peut dépasser 0,5 D. La capsulotomie permet par ailleurs de diminuer les aberrations optiques d'ordre supérieur sans pour autant retrouver un niveau d'aberrations équivalent à un sujet pseudophaque dépourvu d'opacification capsulaire postérieure. C'est pourquoi tout doit être mis en œuvre pour prévenir celle-ci.

La réfraction chez l'enfant se distingue de celle de l'adulte par plusieurs points. Tout d'abord, l'absence de plainte ne doit pas faussement rassurer l'ophtalmologiste. Par ailleurs, le risque d'amblyopie, présent théoriquement jusqu'à 8-12 ans, contraint le praticien à l'intransigeance en termes de réfraction, de correction optique et de délai de prise en charge. Enfin, un examen objectif de la réfraction sous cycloplégique est nécessaire pour s'affranchir à la fois de l'accommodation, majeure chez l'enfant, et de l'impossibilité à l'âge préverbal d'obtenir une acuité visuell…

Dans le contexte tendu de la demande accrue de soins et des perspectives en baisse de la démographie en ophtalmologie, la réflexion sur une nouvelle organisation de la consultation s'impose. Recentrement de l'activité quotidienne sur le cœur du métier, gestion des urgences, réduction des délais de rendez-vous programmés sont les cibles principales, mais aussi privilégier une activité particulière sans se couper de l'ophtalmologie générale. La certification ISO a permis de décrire une à une les différentes étapes, suivant les modes d'exercice variés. La modification de…

Au cours de ces dernières années, l'imagerie par OCT a fait des progrès incessants. L'OCT Spectral Domain qui a succédé à l'OCT Time Domain a permis une très nette amélioration de la résolution des images. L'OCT Swept Source, utilisant un laser à 1 050 nm et balayant à 100 000 scans/seconde permet une meilleure visualisation des structures situées en arrière de l'épithélium pigmentaire et permettra certainement une meilleure compréhension des pathologies du segment postérieur au cours des prochaines années.

Plusieurs facteurs contribuent à augmenter l'aléa réfractif chez des patients opérés de leur cornée, notamment des formules biométriques calculées chez des patients n'ayant jamais eu de chirurgie cornéenne... Aussi faut-il corriger la kératométrie post-cornéenne soit à partir des éléments biométriques du patient jusqu'au moment où l'indication de phakoexérèse est posée, à la condition que ces informations soient disponibles, soit en s'aidant d'autres méthodes pour limiter l'erreur biométrique prévisible : utilisation de lentilles de contact rigides, méthode « Double-K…