Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
Cette nouvelle édition 2025 touche plusieurs domaines de l’ophtalmologie et porte sur les -étoiles- - symptômes dont se plaignent nos patients, - taches que nous voyons sur la cornée, la rétine et ailleurs… - mais également innovations qui peuvent nous éblouir.
Figure 2. A. UBM préopératoire d’un GCFA. La flèche cristallinienne est importante (1 400 microns), la chambre antérieure est étroite. B. UBM postopératoire d’une chirurgie de la cataracte du même patient. Augmentation de l’ouverture de l’angle et de la profondeur de CA.
Lire l'article associé Prise en charge des glaucomes chroniques par fermeture primitive de l’angle
Figure 1. Alternance de zones pigmentées et de zones atrophiques (en haut à gauche). Libération de pigments après la dilatation pupillaire (en haut à droite). Tyndall pigmenté à fort grossissement (en bas à gauche). Plages transilluminables (en bas à droite).
Figure 2. Concavité de l’iris (en haut). Bande pigmentée en gonioscopie (en bas à gauche). Pigments sur les fibres zonulaires et sur la membrane hyaloïde antérieure (en bas à droite).
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.
Figure 1. Ligne de démarcation visible en OCT-SA. La ligne est visible à une profondeur de 315 µm après un CXL conventionnel 5 (A) et à une profondeur de 240 µm après un CXL par iontophorèse (B). Cette ligne disparaît en général dans les 3 mois postopératoires.
Figure 4. Stroma cornéen vu en microscopie confocale avant un CXL (A). Déficit kératocytaire et hyperréflectivité stromale vus en microscopie confocale 1 mois après un CXL conventionnel (B).
Figure 3. Innervation cornéenne visualisée en microscopie confocale avant (A) et après (B à 1 mois et C à 12 mois) un CXL conventionnel. L’analyse retrouve une dénervation significative après un CXL, la densité du plexus sous-basal retrouve son état basal après 12 mois.
Figure 5. Exemple d’adaptation en lentille hybride. A. Image en lumière blanche. La mobilité de cette lentille est équivalente à celle d’une lentille souple, soit 0,50 mm. B. Image en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine macromolécule. Il faut vérifier l’absence d’appui central au niveau du kératocône et une répartition homogène de la fluorescéine au niveau de la zone de jonction.
Figure 6. Exemple d’adaptation en lentille sclérale. A. Glissement du greffon bien visible en lampe à fente. B. Lentille sclérale présentant un réservoir de profondeur correcte et pas de blanchissement au niveau des appuis scléraux.
Facteurs de risque de la choriorétinopathie séreuse centrale
Figure 1. Imagerie multimodale de la rétine. A. Rétinophotographie ultra grand champ (Optos®) de l’œil droit, la flèche montre la bulle de DSR. B. Cliché en autofluorescence de l’œil droit indiquant les zones d’hyper-autofluorescence réticulées. C. Zoom sur l’image B. D. Rétinophotographie ultra grand champ (Optos®) de l’œil gauche. E. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche.
Facteurs de risque de la choriorétinopathie séreuse centrale
Figure 2. OCT et OCT-A. A. Image en infrarouge du pôle postérieur de l’œil droit. B. SD-OCT en mode EDI de l’œil droit retrouvant un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire, associé à un allongement des articles externes des photorécepteurs, témoignant de la durée de la poussée de la CRSC (plusieurs semaines). L’épaisseur choroïdienne est augmentée (579 µm) avec la présence de pachyvaisseaux choroïdiens (étoiles). C. OCT-A de l’œil droit montrant une absence de flux sanguin au niveau du petit décollement de l’épithélium pigmentaire (absence de néovascularisation choroïdienne). D. SD-OCT en mode EDI de l’œil gauche retrouvant une pachychoroïde (413 µm).
Figure 2. Aspect angiographique d’un syndrome d’Irvine-Gass. On remarque des dilatations capillaires périfovéolaires et des diffusions symétriques qui s’étendent au-delà de l’aire maculaire et des vaisseaux temporaux. On note un aspect « pétaloïde » des kystes maculaires.
Figure 1. Aspects OCT d’un syndrome d’Irvine-Gass. On observe un épaississement rétinien maculaire et des logettes cystoïdes associés à un décollement séreux rétrofovéolaire limité. L’œdème prédomine au niveau des couches plexiforme externe et nucléaire interne.
Lentille sclérale chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône.
Figure 1. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,50 mm, Menicon) chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône. Son acuité visuelle est passée de 3/10 en lunettes à 10/10 avec la lentille.
Lentille sclérale chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée.
Figure 3. Lentille sclérale (ICD diamètre 16,50 mm, LCS) chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée. La lentille sclérale améliore son confort de vie et évite les ulcérations.
Lentille sclérale chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte
Figure 2. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,00 mm, Menicon) chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte. Sa qualité visuelle et sa qualité de vie ont été améliorées par le port de la lentille sclérale associé à du sérum autologue.
Figure 3. Rétinophotographie UGC (Optos) d’une oblitération de branche veineuse rétinienne temporale inférieure. Les hémorragies en tache sont prédominantes en moyenne et extrême périphérie rétinienne.
Lire l'article associé L’imagerie ultra-grand champ modifie-t-elle les indications de laser dans les pathologies vasculaires rétiniennes ?
Figure 2. L’AF-UGC (Optos) retrouve une diffusion vasculaire périphérique diffuse en rapport avec des vastes territoires de non-perfusion au niveau de la périphérie rétinienne chez un patient ayant une RD non proliférante.
Lire l'article associé L’imagerie ultra-grand champ modifie-t-elle les indications de laser dans les pathologies vasculaires rétiniennes ?
Figure 1. Projection de montage de clichés selon le protocole 7SF (cercles blancs) sur un cliché de rétinophotographies UGC (Optos) rend compte du territoire rétinien.
Lire l'article associé L’imagerie ultra-grand champ modifie-t-elle les indications de laser dans les pathologies vasculaires rétiniennes ?
Figure 2. Concavité de l’iris (en haut). Bande pigmentée en gonioscopie (en bas à gauche). Pigments sur les fibres zonulaires et sur la membrane hyaloïde antérieure (en bas à droite).
Figure 1. Alternance de zones pigmentées et de zones atrophiques (en haut à gauche). Libération de pigments après la dilatation pupillaire (en haut à droite). Tyndall pigmenté à fort grossissement (en bas à gauche). Plages transilluminables (en bas à droite).
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Surinfection bactérienne de l’invasion épithéliale.
Figure 1. A. Aspect à la lampe à fente : cercle périkératique, œdème cornéen, berges temporales du volet irrégulières, infiltrat de l’interface. B. Cliché OCT cornéen : hyperréflectivité des berges, de l’interface et du stroma sous-jacent.
Figure 4. Consultation à 2 mois de l’intervention, après l’ablation des sutures cornéennes. Pas de récidive de l’invasion épithéliale, disparition de l’inflammation. Fibrose stromale cicatricielle au niveau des zones qui étaient les plus atteintes. Topographie cornéenne relativement régulière.
Figure 3. Consultation à 5 jours de l’intervention. A. Diminution du cercle périkératique, cornée et interface claires, sutures en place. B. Cliché OCT cornéen : diminution nette de l’hyperréflectivité.
Figure 4. Stroma cornéen vu en microscopie confocale avant un CXL (A). Déficit kératocytaire et hyperréflectivité stromale vus en microscopie confocale 1 mois après un CXL conventionnel (B).
Figure 3. Innervation cornéenne visualisée en microscopie confocale avant (A) et après (B à 1 mois et C à 12 mois) un CXL conventionnel. L’analyse retrouve une dénervation significative après un CXL, la densité du plexus sous-basal retrouve son état basal après 12 mois.
Figure 3. Innervation cornéenne visualisée en microscopie confocale avant (A) et après (B à 1 mois et C à 12 mois) un CXL conventionnel. L’analyse retrouve une dénervation significative après un CXL, la densité du plexus sous-basal retrouve son état basal après 12 mois.
Figure 1. Ligne de démarcation visible en OCT-SA. La ligne est visible à une profondeur de 315 µm après un CXL conventionnel 5 (A) et à une profondeur de 240 µm après un CXL par iontophorèse (B). Cette ligne disparaît en général dans les 3 mois postopératoires.
Figure 4. Stroma cornéen vu en microscopie confocale avant un CXL (A). Déficit kératocytaire et hyperréflectivité stromale vus en microscopie confocale 1 mois après un CXL conventionnel (B).
Figure 1. Ligne de démarcation visible en OCT-SA. La ligne est visible à une profondeur de 315 µm après un CXL conventionnel 5 (A) et à une profondeur de 240 µm après un CXL par iontophorèse (B). Cette ligne disparaît en général dans les 3 mois postopératoires.
Figure 6. Exemple d’adaptation en lentille sclérale. A. Glissement du greffon bien visible en lampe à fente. B. Lentille sclérale présentant un réservoir de profondeur correcte et pas de blanchissement au niveau des appuis scléraux.
Figure 5. Exemple d’adaptation en lentille hybride. A. Image en lumière blanche. La mobilité de cette lentille est équivalente à celle d’une lentille souple, soit 0,50 mm. B. Image en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine macromolécule. Il faut vérifier l’absence d’appui central au niveau du kératocône et une répartition homogène de la fluorescéine au niveau de la zone de jonction.
Figure 2. OCT et OCT-A. A. Image en infrarouge du pôle postérieur de l’œil droit. B. SD-OCT en mode EDI de l’œil droit retrouvant un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire, associé à un allongement des articles externes des photorécepteurs, témoignant de la durée de la poussée de la CRSC (plusieurs semaines). L’épaisseur choroïdienne est augmentée (579 µm) avec la présence de pachyvaisseaux choroïdiens (étoiles). C. OCT-A de l’œil droit montrant une absence de flux sanguin au niveau du petit décollement de l’épithélium pigmentaire (absence de néovascularisation choroïdienne). D. SD-OCT en mode EDI de l’œil gauche retrouvant une pachychoroïde (413 µm).
Figure 1. Imagerie multimodale de la rétine. A. Rétinophotographie ultra grand champ (Optos®) de l’œil droit, la flèche montre la bulle de DSR. B. Cliché en autofluorescence de l’œil droit indiquant les zones d’hyper-autofluorescence réticulées. C. Zoom sur l’image B. D. Rétinophotographie ultra grand champ (Optos®) de l’œil gauche. E. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche.
Figure 1. Aspects OCT d’un syndrome d’Irvine-Gass. On observe un épaississement rétinien maculaire et des logettes cystoïdes associés à un décollement séreux rétrofovéolaire limité. L’œdème prédomine au niveau des couches plexiforme externe et nucléaire interne.
Figure 2. Aspect angiographique d’un syndrome d’Irvine-Gass. On remarque des dilatations capillaires périfovéolaires et des diffusions symétriques qui s’étendent au-delà de l’aire maculaire et des vaisseaux temporaux. On note un aspect « pétaloïde » des kystes maculaires.
Lentille sclérale chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte
Figure 2. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,00 mm, Menicon) chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte. Sa qualité visuelle et sa qualité de vie ont été améliorées par le port de la lentille sclérale associé à du sérum autologue.
Lentille sclérale chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône.
Figure 1. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,50 mm, Menicon) chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône. Son acuité visuelle est passée de 3/10 en lunettes à 10/10 avec la lentille.
Lentille sclérale chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée.
Figure 3. Lentille sclérale (ICD diamètre 16,50 mm, LCS) chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée. La lentille sclérale améliore son confort de vie et évite les ulcérations.
Lentille sclérale chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte
Figure 2. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,00 mm, Menicon) chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte. Sa qualité visuelle et sa qualité de vie ont été améliorées par le port de la lentille sclérale associé à du sérum autologue.
Lentille sclérale chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée.
Figure 3. Lentille sclérale (ICD diamètre 16,50 mm, LCS) chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée. La lentille sclérale améliore son confort de vie et évite les ulcérations.
Lentille sclérale chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône.
Figure 1. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,50 mm, Menicon) chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône. Son acuité visuelle est passée de 3/10 en lunettes à 10/10 avec la lentille.
Lentille sclérale chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte
Figure 2. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,00 mm, Menicon) chez un patient avec une kératite symptomatique invalidante bilatérale compliquant une maladie du greffon contre l’hôte. Sa qualité visuelle et sa qualité de vie ont été améliorées par le port de la lentille sclérale associé à du sérum autologue.
Lentille sclérale chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône.
Figure 1. Lentille sclérale (Time XL diamètre 16,50 mm, Menicon) chez un patient avec une greffe de cornée de l’œil gauche pour un kératocône. Son acuité visuelle est passée de 3/10 en lunettes à 10/10 avec la lentille.
Lentille sclérale chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée.
Figure 3. Lentille sclérale (ICD diamètre 16,50 mm, LCS) chez un patient avec des ulcérations récidivantes compliquées d’une perforation sur une greffe de cornée. La lentille sclérale améliore son confort de vie et évite les ulcérations.
Figure 2. L’AF-UGC (Optos) retrouve une diffusion vasculaire périphérique diffuse en rapport avec des vastes territoires de non-perfusion au niveau de la périphérie rétinienne chez un patient ayant une RD non proliférante.
Figure 1. Projection de montage de clichés selon le protocole 7SF (cercles blancs) sur un cliché de rétinophotographies UGC (Optos) rend compte du territoire rétinien.
Figure 3. Rétinophotographie UGC (Optos) d’une oblitération de branche veineuse rétinienne temporale inférieure. Les hémorragies en tache sont prédominantes en moyenne et extrême périphérie rétinienne.
Figure 1. Projection de montage de clichés selon le protocole 7SF (cercles blancs) sur un cliché de rétinophotographies UGC (Optos) rend compte du territoire rétinien.
Figure 3. Rétinophotographie UGC (Optos) d’une oblitération de branche veineuse rétinienne temporale inférieure. Les hémorragies en tache sont prédominantes en moyenne et extrême périphérie rétinienne.
Figure 2. L’AF-UGC (Optos) retrouve une diffusion vasculaire périphérique diffuse en rapport avec des vastes territoires de non-perfusion au niveau de la périphérie rétinienne chez un patient ayant une RD non proliférante.
Volumineux hématome : photographie du fond d’œil à J1.
Figure 2. Visualisation de la bulle de gaz et de l’hématome maculaire d’aspect similaire. On note cependant sur les coupes OCT une diminution d’épaisseur de l’hématome de 150 microns en sous-fovéolaire.
Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
Cette nouvelle édition 2025 touche plusieurs domaines de l’ophtalmologie et porte sur les -étoiles- - symptômes dont se plaignent nos patients, - taches que nous voyons sur la cornée, la rétine et ailleurs… - mais également innovations qui peuvent nous éblouir.