Une simple conjonctivite ?

Conjonctivite folliculaire tarsale inférieure.

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Cataracte et syndrome de l’iris flasque (IFIS)

IFIS grade 3 (sévère) associant une flaccidité du bord pupillaire, une constriction irienne et un prolapsus avec une éversion de l’iris au travers des incisions cornéennes.

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Cataracte et pathologies cornéennes

Kératopathie bulleuse du phaque de chambre antérieure avec début d’œdème cornéen périphérique

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Lentilles sclérales et Spot

Lentille sclérale décentrée.

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Le glaucome du myope fort. Quand y penser, comment l'affirmer, le suivre, le traiter ?

La papille du myope fort. À gauche : diamètre et rapport cup/disc augmentés, excavation peu profonde et plus large, insertion oblique, colobome, atrophie chorio-rétinienne, staphylome postérieur, situs inversus vasculaire. À droite : l’hémorragie parapapillaire doit faire suspecter fortement l’existence un glaucome sous-jacent.

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La maladie de Horton : une urgence thérapeutique

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Conjonctivite allergique saisonnière avec follicules conjonctivaux

Lire l'article associé Les particularités de l’allergie oculaire selon le terrain : enfant, adulte, patients présentant une pathologie de la surface oculaire

Blépharoconjonctivite de contact : y penser et quels allergènes en cause ?

Eczéma de contact des paupières après application d’un antiseptique local contenant du chlorure de benzalkonium (Dr E. Collet).

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Formes cliniques de conjonctivites allergiques : comment les reconnaître ?

Kératoconjonctivite vernale (KCV) : forme tarsale.

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Une endophtalmie endogène bilatérale à Candida albicans

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DMLA : les 10 signes à l’OCT qu’il faut connaitre

L’atrophie. A. Coupe OCT montrant la présence d’une hyperréflectivité postérieure (flèches blanches) liée aux altérations marquées de l’EP. En regard de cette zone, existe une disparition de la limitante externe et de l’interface IS/OS et des photorécepteurs (flèche rouge). On note ici l’épargne fovéolaire. B. Cliché en autofluorescence qui montre en hypoautofluorescence la présence des plages d’atrophie, et en hyperautofluorescence les zones prédictives d’atrophie future

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Iridotomie réalisée au laser YAG

sur un œil ayant présenté une crise de fermeture angulaire (atrophie irienne localisée)

Lire l'article associé Iridotomie : quand et comment la réaliser ?

Utilisation des membranes amniotiques humaines en ophtalmologie

a. MAH en patch ou « overlay » (épithélium vers le bas). b. MAH en greffe ou technique « inlay » (épithélium vers le haut).

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Chirurgie maculaire : moins invasive qu’une chirurgie de cataracte ?

Chirurgie d’un trou maculaire sans suture ni désinsertion de la conjonctive

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Ocriplasmine : quelles seront les bonnes indications ?

Syndrome de traction vitromaculaire associé à un trou maculaire (TM) de stade 2 chez un patient de 53 ans phaque. Une fermeture du TM est observée à J28 de l’IVT d’ocriplasmine avec un DSR persistant.

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Imagerie de la macula

A.Cliché Multicolor de l’œil droit réalisé à l’aide du Spectralis d’Heidelberg montrant la présence de plis rétiniens superficiels et d’une tortuosité des vaisseaux secondaires à l’existence d’une membrane épirétinienne. B.Cliché C-scan dans le plan de la membrane limitante interne montrant ces mêmes plis maculaires.

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Comment différencier un pseudo-trou d’un trou lamellaire ?

Le diagnostic différentiel est relativement facile quand il s’agit d’un PTM à bords réguliers verticalisés et droits (à droite) : il existe un épaississement maculaire et le fond est d’épaisseur normale. L’image en face montre une MER lisse au centre avec des plis rétiniens radiaires traduisant les forces de contraction centripètes. À gauche, il s’agit d’un TL avec un fond irrégulier et aminci et l’épaisseur maculaire est normale. Il y a une très fine membrane visualisable, mais l’image en face de l’OCT montre une surface lisse sans contraction de cette membrane (images de l’hôpital Lariboisière).

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Nouvelle classification des maladies de l’interface vitréo-maculaire

Traction vitréo-maculaire focale avec cavitation de la rétine interne.

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Un cas de schwannome orbitaire

Coupe scannographique frontale.

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Comment réussir sa première injection esthétique de toxine botulique ?

Points d'injection de la toxine

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Œil rouge et douloureux : rosacée de l’enfant, un diagnostic méconnu

Pannus inférieur

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Cross-linking cornéen : actualités et controverses

Abcès de cornée sur greffon résistant aux antibiotiques. Aspect avant cross-linking.

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Kératites amibiennes

Kératonévrite radiaire.

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Dysfonctionnements des glandes de Meibomius 1. Un panorama

Bouchons meibomiens.

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Une DMLA (exsudative) peut en cacher une autre (atrophique)

Plage d’atrophie juxtafovéolaire supérotemporale associée à un néovaisseau choroïdien visible rétrofovéolaire : cliché multicolor

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Bilatéralisation dans la DMLA exsudative

Coupe SD-OCT d’une anastomose chorio-rétinienne débutante (stade 2) chez une patiente asymptomatique dont la MAVC est de 20/20 au moment du diagnostic.

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Des drusen à la DMLA exsudative de type 3 débutante

Néovaisseaux de type 3 au stade précoce.

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L’angio-OCT : l’angiographie sans colorant

Néovaisseaux choroïdiens visibles

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Un cas d’esthésioneuroblastome olfactif à révélation ophtalmologique

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Prise en charge actualisée du kératocône en 2015

Anneaux intracornéens.

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Angiographie-OCT : premier retour d’expérience

Corrélation entre une angiographie à la fluorescéine et l’angiographie-OCT (cube de 3 x 3 mm) dans un cas de DMLA avec néovascularisation mixte active. L’absence de diffusion en angiographie-OCT nous permet de mieux percevoir la structure néovasculaire avec la composante sous-épithéliale et pré-épithéliale sur le même cliché.

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Une toxocarose oculaire

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Chirurgie réfractive et surface oculaire

Instabilité du film lacrymal post-chirurgie de la cataracte.

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Principe du Smile

Lire l'article associé Avantages et inconvénients du Smile

Dysfonctionnements des glandes de Meibomius 2. Dysfonctionnement meibomien et chirurgie

Glande de Meibomius.

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Diaporama expliqué des tumeurs dépistées au fond d’œil

Calcifications choroïdiennes idiopathiques

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Un syndrome de Stevens-Johnson post-infectieux à Mycoplasma pneumoniae

Fibrose sous-épithéliale stade I de la paupière supérieure droite.

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Comment organiser son dépistage de la rétinopathie diabétique par télémédecine ?

Images de bonne qualité : bonne définition de l’image, bonne visibilité des détails (vaisseaux de deuxième ordre). Toute l’image est analysable.

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L’œil globuleux

Exophtalmie défigurante. Rétraction discrète et asymétrique des paupières supérieures.

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Scleral show

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L’œil creux

Creux palpébral inférieur avec poches palpébrales minimes

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L’œil tombant

Aspect d’un regard tombant avec désinsertion du tendon canthal latéral, dermachalasis prédominant en externe et chute de la queue du sourcil.

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Le petit œil

Ptôsis minime associé à un dermatochalasis.

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Une baisse d’acuité visuelle énigmatique

Atrophie fibrogliale sévère pré-épithéliale de la région maculaire

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Dysfonctionnement des glandes de Meibomius et glaucome

Patiente présentant un DGM et une irritation liée à l’utilisation de collyres hypotonisants conservés (madarose liée à un prurit réactionnel)

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