Une NOIAA atypique

Une femme de 80 ans d'origine caucasienne présente une baisse d'acuité visuelle brutale sévère de l'œil droit un matin au réveil et vient consulter en urgence. Ses antécédents sont marqués par une maladie de Parkinson, des troubles du rythme cardiaque (avec pose récente d'un pacemaker), un diabète de type 2 insuliné équilibré (HbA1c = 7,5 %), une hypertension artérielle sévère déséquilibrée et un surpoids. Son traitement comprend : fluindione, L-Dopa, furosémide, périn- dopril, amiodarone, atorvastatine, L-thyroxine et insuline.

Auteurs

  • Charlie Zagroun

    Ophtalmologiste

    Unité de neuro-ophtalmologie, CHU Nîmes

  • Luc Jeanjean

    Ophtalmologiste

    Unité de neuro-ophtalmologie, Centre hospitalier universitaire de Nîmes ; Faculté de médecine de Montpellier-Nîmes ; Institut ARAMAV, Nîmes

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