Un modèle cellulaire pour la maladie de Stargardt
Des chercheurs du National Eye Institute (NEI) américain ont réussi à transformer des cellules de la peau, prélevées sur des patients atteints de la maladie de Stargardt, en cellules souche pluripotentes puis en cellules de l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR). Celles-ci présentent donc l’une des mutations du gène ABCA4 à l’origine de la maladie.