Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
Cette nouvelle édition 2025 touche plusieurs domaines de l’ophtalmologie et porte sur les -étoiles- - symptômes dont se plaignent nos patients, - taches que nous voyons sur la cornée, la rétine et ailleurs… - mais également innovations qui peuvent nous éblouir.
Figure 7. L’injection d’air a créé une bulle de type 1 (clivage entre le stroma et la couche de Dua et une bulle de type 2 (clivage entre la couche de Dua et la membrane de Descemet). La couche de Dua est bien visualisée, très hyperréflective, en arrière du stroma postérieur. La membrane de Descemet est plus postérieure et moins réflective (scan horizontal, ligne verte).
OVCR œdémateuse de l’œil droit à trois semaines. AV à 6/10, hémorragies rétiniennes diffuses, dilatation et tortuosité veineuses, nodules cotonneux (cliché couleur du FO).
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Figure 1. Rétinographie de décollement de rétine avec schématisation de son évolution en un jour selon Ho et al. [3]. Trait plein : limite actuelle du décollement de rétine. Trait discontinu : limite à attendre du décollement de rétine dans 24 heures chez les patients présentant une progression (13%).
Maculopathie radique compliquant un mélanome choroïdien temporal supérieur
Patient présentant une maculopathie radique compliquant un mélanome choroïdien temporal supérieur de l’œil droit traité par protonthérapie. La rétinographie couleur montre des hémorragies rétiniennes en temporal inférieur de la macula. L’angiographie met en évidence une occlusion veinulaire ischémique. L’OCT confirme la présence d’un œdème maculaire
Mélanome choroïdien antérieur de grande taille, avec rupture caractéristique de la membrane de Bruch réalisant une image classique « en champignon ». L’intégralité de la tumeur choroïdienne est visible sur ce seul cliché
Figure 1. Un cas simple pour débuter. Victoire 11 ans, gymnaste. Myopie évolutive : OD -3,25 (20°-0,50) ; OG -2,50 (150°-0,75). Topographie fiable : astigmatisme cornéen ; bonne excentricité.
Figure 1. DLK de stade 2. On y voit ces petits infiltrats sableux répartis de manière diffuse, atteignant l’axe visuel, sans fibrose stromale. Ils ont régressé après un renforcement de la corticothérapie topique.
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Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Figure 3. Exemples de cartes de densités de cônes et d’espacement intercônes chez des patients avec différentes doses cumulées d’hydroxychloroquine. Une perte en cônes et une augmentation de l’espacement avec une conservation relative de la mosaïque des cônes sont observées à mesure que la dose cumulée augmente [9].
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.
Epaississement irrégulier de l’épithélium pigmentaire, associé à un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire
Figure 2. OCT maculaire de l’œil droit montrant la présence d’un épaississement irrégulier de l’épithélium pigmentaire, associé à un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire.
Décompte du nombre de cellules endothéliales avec l’analyse de la forme et de la répartition des cellules
Le décompte du nombre de cellules endothéliales avec l’analyse de la forme et de la répartition des cellules apporte un élément indispensable dans le suivi des patients atteints de cornea guttata par exemple.
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 3. Analyse en lumière blanche fente fine à 45° et fort grossissement du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un espace liquidien entre la lentille et la cornée. Cet espace est plus fin au niveau de l’apex du cône.
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°
Figure 5. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe horizontale 0°/180°. Il permet la visualisation de l’espace liquidien sous la lentille (↓) et l’alignement de la lentille avec le limbe et la sclère.
Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère
Figure 4. Analyse en lumière blanche fente large et fort grossissement de la zone d’appui de la lentille sur la sclère. La zone d’appui est bien alignée à la sclère en nasal.
Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche
Figure 2. Analyse en lumière bleue fente large du rayon de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL de l’œil gauche. Il existe un léger « affleurement » de la lentille au niveau du cône, donnant une image légèrement fluorescéine négative (↑).
Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône
Figure 6. Image en OCT grand champ (Casia) de la lentille cornéosclérale Rose K2 XL avec une coupe verticale 293°/113° passant par l’apex du cône et montrant un rétrécissement de l’espace liquidien en regard de l’apex (↓).
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
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