Les dégâts de la DMLA sur le DHA
Des chercheurs américains ont montré qu’en cas de DMLA, la rétine périphérique présente moins de DHA (acide docosahexaenoïque) 22:6 que la rétine saine. Or le DHA est le précurseur des acides gras polyinsaturés à longue chaîne, eux-mêmes nécessaires à la synthèse des élovanoïdes, des médiateurs de la survie cellulaire, et de la neuroprotectine D1.