Lasik, toujours le pire ?
En 30 ans de développement en chirurgie réfractive, le Lasik s’est imposé jusqu’à devenir encore aujourd’hui le gold standard. Plébiscité par les patients pour le confort des suites, la vitesse de récupération et de stabilisation, il l’est aussi par les chirurgiens pour la rapidité de l’apprentissage, la sécurité des instruments, le large spectre des indications et la facilité des retouches. Pourtant la sécheresse oculaire induite est une complication fréquente de la chirurgie réfractive et influe sur le choix entre les différentes techniques : le Lasik mérite-t-il toujours sa place de leader ou, à l’inverse, est-il la pire des techniques en ce qui concerne la sécheresse ?