Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.