L'anisométropie faible ou forte n'est pas une contre-indication absolue à l'équipement en verres progressifs ». Cependant, avant de poser l'indication de ce type d'équipement, il est indispensable de différencier les anisométropies congénitales des anisométropies acquises et d'analyser les désordres binoculaires qui en découlent. Ceci était la conclusion d'une étude publiée en 1998 dans le Journal français d'ophtalmologie. Qu'en est-il aujourd'hui ?