DMLA néovasculaire : que faire en présence de liquide sous-rétinien résiduel ?
Environ 25% des patients avec une dégénérescence maculaire néovasculaire traités par anti-VEGF présenteraient une résistance immédiate ou secondaire. Plusieurs mécanismes seraient à l’origine de cette résistance : des facteurs de prédisposition génétique ; des mécanismes pharmacologiques tels que la sécrétion d’anticorps dirigés contre la molécule anti-VEGF en cas de tachyphylaxie, ou la transformation du néovaisseau choroïdien, le rendant moins réactif au traitement ; ou encore des modifications de la production de facteurs angiogéniques ou inflammatoires en réaction au traitement.