La surface oculaire est une entité anatomique et fonctionnelle complexe et fragile. De nombreux facteurs, internes ou externes, peuvent compromettre son homéostasie via des phénomènes apoptotiques et/ou inflammatoires qui s’auto-entretiennent ensuite. La chirurgie de la cataracte constitue un traumatisme et, sur une surface oculaire déjà fragilisée par ailleurs, peut être l’un des facteurs d’entrée dans le cercle vicieux de la sécheresse oculaire.